Peter James
Peter
James
Ecrivain
anglais Né le 22 août 1948
Héro
récurrent: Roy
Grace, policier qui reconnaît avoir
recours au "paranormal"
Site officiel
Peter James a longtemps vécu en
Amérique du Nord, où il était scénariste
et producteur, avant de retourner en Angleterre. Il partage
aujourd’hui son temps entre sa maison de Notting Hill, à
Londres, et le Sussex.
Peter James a toujours eu l'ambition
d’écrire des romans et de réaliser des films:
lorsqu'il sort diplômé d’une école de cinéma
à Londres en 1970 il devient stagiaire pour un programme
quotidien à la télévision pour les tout petits
enfants, appelé Polka Dot Door, à Toronto, dont il
devient le scénariste.
Il collabore ensuite avec Bob Clark
sur une série à petit budget de films d’horreur dont
Children Shouldn’t Play With Dead Things et Deathdream, qui est
maintenant un classique du genre et qu'il a produit en 1972.
"plus que tout, ce
que je voulais c’était écrire des romans policiers –
mais je pensais alors qu’il y avait de tellement bons auteurs
policiers que le monde n’en avait pas besoin d’un supplémentaire
! C’est alors que j’ai lu un article de journal évoquant
le manque de bons romans d’espionnage."
Il se lance donc avec beaucoup d'énergie dans l'écriture de romans d'espionnage malgré son manque de connaissances du sujet:
- Dead Letter Drop,
fut le premier à être publié mais ne remporta pas
de succès, puis Atom Bomb Angel et Billionaire...
Devant le manque d'enthousiasme évident des lecteurs, il
décide de revenir au roman policier.
À peu près
à cette époque, le fils de deux de ses amis décède
dans un accident de voiture dans le nord de la France. Les parents
consultent alors un médium pour entrer en contact avec leur
enfant. C'est ce qui lui donne l'idée de "mixer"
deux univers qu'il avait toujours eu à l’esprit : ceux du
crime et du paranormal.
Son roman, Possession, sur une
mère qui va voir un médium pour contacter son enfant,
mort dans un accident, et qui découvre qu’il a tué sa
petite amie est vite devenu un énorme best-seller, devenant
numéro un des ventes en Grande-Bretagne et traduit dans 23
langues.
Après avoir écrit
plusieurs livres mélangeant suspense, crime et paranormal, il
se dirige vers un genre plus conventionnel, le suspense.
Son éditeur, Macmillan, lui
propose alors d'écrire une véritable série
policière, ce qui correspondait à ses désirs
depuis toujours:
Comme une tombe son premier ouvrage mettant en scène le commissaire Roy Grace, a reçu le prix Polar International 2006 du Salon de Cognac et le prix Cœur Noir 2007. Les aventures de Roy Grace se poursuivent avec La mort leur va si bien (2007) et Mort... ou presque (2008), tous deux parus aux Éditions du Panama.. L'auteur avoue avoir trouvé un style qui lui convient parfaitement et qu'il aime.
Extraits d'interviews
de Peter James
Polars Pourpres
Bibliosurf
"J’ai grandi avec un régime
à base de romans et de films. J’étais un dévoreur
de films depuis tout petit – et j’ai vraiment été
influencé par la Nouvelle Vague française avec des
réalisateurs comme Jean-Luc Goddard, Marguerite Duras, Alain
Robbe-Grillet, Claude Chabrol, François Truffaut, Jean Renoir,
qui ont par ailleurs réussi, à certains moments, de
merveilleux thrillers mélangés à une profonde
pensée intellectuelle. Et c’est vraiment ce que je veux
faire, des thrillers, mais des romans qui font que mes lecteurs
pensent le monde différemment. Je pense que le roman noir est
le genre idéal aujourd’hui pour explorer, examiner et
transposer le monde dans lequel nous vivons. Je n’écris pas
dans le but de transposer mes films au cinéma. J’écris
plutôt, du moins je le pense, avec la compréhension du
comment un film peut appréhender le plaisir qu’il va donner
aux spectateurs. Je pense qu’il y a une très grande
similitude entre le fait de tourner une page d’un roman et un film
qui vous accroche. Et le premier point pour les deux est de réussir
à présenter de grands personnages. Sans personnages à
soigner, il n’y a rien. Un de mes plus grandes influences du genre
est Elmore Leonard. Actuellement, je ne pense pas qu’il se
caractérise par l’ingéniosité de son intrigue,
en revanche, c’est un génie en matière de
personnages. Vous pouvez avoir un de ses personnages qui lit
l’annuaire du téléphone pendant trois cents pages, et
vous restez scotché. Ça c’est de l’écriture
!"
"Quand j’ai crée Roy
Grace, je voulais obtenir quelque chose de foncièrement
différent de ce qu’on trouvait ailleurs. J’ai décidé
de lui donner son propre mystère qui resterait insoluble : ce
qui est arrivé à Sandy, sa femme, disparue le jour de
son trentième anniversaire. Mais aussi de lui donner un
intérêt pour tout ce qui a trait au paranormal – un
sujet que je maîtrise plutôt pas mal pour l’avoir
étudié ces vingt dernières années. J’ai
été très surpris, il y a quelques années,
de découvrir que de nombreux officiers de police avaient
recours aux médiums et aux voyantes, en dernier ressort, quand
tout le reste a échoué. J’y ai été
confronté en Grande-Bretagne, en Allemagne, aux Etats-Unis et
en Australie, et je suis sûr qu’il en est de même dans
de nombreux autres pays. En Angleterre, il y a le fameux cas du rapt
de Leslie Whitte, que la police n’a pas pu retrouver avant qu’elle
ne consulte une voyante, qui leur a dit exactement où se
trouvait le corps. Aux Etats-Unis, le Pentagone, le vrai, a ses
dossiers X-Files – et ils ont actuellement un département
paranormal qu’ils gardent très secret. Et c’est aussi ce
que font les polices du monde, elles les gardent secrètement
pour ne pas s’exposer au ridicule – ce qui est ce qui arrive à
Roy Grace lors d’une audience au tribunal, au début de Comme
une tombe, quand la presse découvre qu’il a emprunté
une chaussure dans les pièces à conviction, pour la
montrer à un médium. Mais je n’utiliserai jamais le
paranormal comme une méthode pour lui de résoudre un
crime – j’aurais l’impression de tricher avec mes lecteurs."
"Comme une tombe débute
avec une blague innocente lors de l’enterrement d’une vie de
garçon qui dérape : Michael Harrison va se marier dans
quelques jours avec Ashley, sa fiancée. Mais Michael a
toujours fait de très mauvaises blagues à ses amis
avant leurs mariages, et ils ont décidé de les lui
faire payer. Ils font la tournée des pubs, dans un van, le
saoulent, et le mettent dans un cercueil avant de l’enterrer dans
un endroit choisi au préalable, dans les bois, avec un
talkie-walkie, un magazine porno et une bouteille de whisky. Ils ont
planifié de revenir quelques heures après pour le
déterrer. Malheureusement, peu après, ils sont victimes
d’un accident de voiture. Trois d’entre eux meurent, alors que le
quatrième se retrouve dans le coma. Mark, le meilleur ami de
Michael et son associé dans les affaires, aurait dû être
présent. Il a été retardé par une réunion
et un vol retardé. C’est à sa sortie de l’avion,
quand il rallume son portable, qu’il apprend la terrible nouvelle.
C’est une Ashley en larmes qui lui parle de l’accident et lui
rapporte que personne ne sait où Michael est. Mark réalise
alors qu’il est le seul au monde à savoir où Mark se
trouve. S’il se tait, il obtiendra la totalité des parts de
l’entreprise qu’il partage avec Michael. Et un plus gros prix
encore. La tragédie d’un homme est simplement l’heureuse
fortune d’un autre. C’est simple comme la mort…" -- Peter
James --
"Jai été
énormément influencé par Graham Greene, qui est
vraiment mon auteur préféré, et Le Rocher de
Brighton est un tel livre ! Et je pense qu’il a la fin
psychologique la plus noire de tous les romans. Greene est capable de
capturer Brighton et de nous la restituer exactement comme elle est
encore aujourd’hui. Une merveilleuse cité avec une menace
sourde et persistante. C’est ce que j’essaie de retranscrire dans
tous mes écrits – bien que je ne prétende pas
rivaliser avec mon Maître… Je me rappelle parfaitement la
scène du Troisième Homme – un de mes films préféré
(en partie parce que ma mère est partie de Vienne en 1938, ce
qui me rattache plus particulièrement à cette ville, et
en partie à cause de cette incroyable performance – la scène
mémorable dans la nacelle –, que Roy Grace regarde au début
de Not Dead Enough !!!). Et, oui, j’adore les situations absurdes.
Une grande partie du plaisir que vous éprouvez à écrire
des romans de suspense est que vous pouvez jouer avec beaucoup de
ficelles avec vos lecteurs, si et seulement si vous respectez les
règles. Comment je me place sur l’échiquier de la
littérature ? Je suis un grand admirateur de Ian Rankin, et je
lui suis régulièrement comparé, parce que, je
crois, de manière un peu similaire, nous sommes assimilés
à une ville, lui à Édimbourg, moi à
Brighton. Et cette comparaison m’honore. Quand j’écrivais
mes romans noirs sur fond de supernaturel, j’étais surnommé
la réponse anglaise à Michael Crighton et à
Stephen King. Maintenant, j’aimerais bien mieux être surnommé
la réponse anglaise à Ian Rankin !!!"
"Je passe un jour toutes les
deux semaines, deux semaines et demie, sur place avec la police, que
ce soit dans une voiture, sur la place d’un crime ou dans un
bureau, essayant d’en apprendre un peu plus sur la police (ils
voient vraiment le monde de façon différente), et de
rester à jour dans les évolutions de leurs méthodes
et de leurs techniques, afin d’avoir des idées pour mes
personnages et mes crimes. Et il semblerait que quoi que j’invente
en tant qu’écrivain, quelque part, dans le monde du crime,
ça c’est déjà passé… Pour mon
quatrième roman avec Roy Grace, que je suis encore en train
d’écrire, j’ai une scène où le niveau d’une
rivière en dehors de Melbourne est en train de baisser, ce qui
révèle une voiture. À l’intérieur du
coffre de cette voiture, se trouve le corps d’une femme. En
janvier, j’étais à Melbourne. Je raconte cette partie
de l’histoire à un groupe d’inspecteurs qui m’avaient
gentiment invité dans leurs bureaux. Ils me regardent étonnés,
et me racontent que c’est arrivé il y a deux semaines ! Ils
m’ont emmené voir la rivière, la voiture et la morgue
où se trouvait le corps (vous pouvez voir quelques photos sur
le blog de mon site : www.peterjames.com)."
Roy Grace
Comme
une tombe - Titre original : Dead simple
Traducteur
: Raphaëlle Dedourge
Editeur : Ed. du Panama, Paris, France -
Collection : Panama Polar 2006
Pocket - Collection : Thriller -
05/2007
Quatrième de couverture
Lorsqu’il se réveille six
pieds sous terre dans un cercueil avec du whisky, une lampe de poche,
une revue érotique et un sérieux mal de crâne,
Michael Harrison pense à une mauvaise blague. Très
vite, il se remémore la soirée arrosée de la
veille avec ses copains pour son enterrement de vie de garçon.
Seulement les heures passent et personne ne vient le chercher…
À la surface, sa fiancée
s’inquiète. À trois jours des noces, elle signale la
disparition de Michael à Roy Grace, inspecteur aux méthodes
peu conventionnelles, dans la ligne de mire de sa hiérarchie.
Pour retrouver le futur époux il n’a qu’un seul indice :
ses témoins. Mais leur camionnette est en pièces et
aucun d’eux n’a survécu à l’accident…
Cet ouvrage a reçu le prix du
Polar du festival de Cognac
Les présentations des
éditeurs : 14/05/2006
Comme une tombe s'ouvre sur un
enterrement de vie de garçon. Celui de Michael Harrison, jeune
golden boy qui, avec Mark Warren, a monté une société
immobilière fructueuse. Michael doit se marier trois jours
plus tard. Pour fêter dignement l'événement et se
venger de ce farceur invétéré, quatre de ses
amis lui ont préparé une nuit très spéciale
: pendant qu'ils font la tournée des pubs, ils l'enferment
dans un cercueil, au milieu de nulle part, où il doit attendre
plusieurs heures. Malheureusement, la blague tourne mal : les quatre
amis meurent dans un accident de voiture et Michael se retrouve piégé
dans le cercueil.
Roy Grace, commissaire divisionnaire
- un homme hanté par la disparition de sa femme - est contacté
par la superbe fiancée de Michael, Ashley Harper, folle
d'angoisse. Il se lance alors dans une course contre la montre, pour
essayer par tous les moyens de retrouver Michael.
La revue de presse Martine Laval
- Télérama du 1er mars 2006
Un jeune type va se marier avec une
fille belle à tomber. Est prévue avec ses potes une
soirée bien arrosée. On appelle ça enterrer sa
vie de garçon. Les copains lui ont inventé une fête
du tonnerre : ils enferment le futur marié dans un cercueil,
l'enterrent pour de vrai, avec un talkie-walkie, une bouteille de
whisky et un petit tuyau pour respirer. Eux s'en vont écluser
quelques bières, jurant qu'ils reviennent bientôt. Mais
drame : la bande se plante en voiture. Tous morts... L'auteur
s'amuse. Il invente un tas de personnages patibulaires ou loufoques,
lance de fausses vraies pistes, s'attarde sur de petits détails
qui, bien sûr, se révéleront capitaux. Peter
James fait dans le gouleyant - violence à petites doses,
diatribes sucrées sur la vie, l'amour, and so on...
La
mort leur va si bien - Titre original : Looking good
dead
Traducteur : Raphaëlle Dedourge
Editeur : Ed. du Panama, Paris, France
- Sorti le : 01/03/2007
Pocket - Collection : Thriller - Date de
parution : 13/03/2008
Quatrième de couverture
« Cher Monsieur Bryce,
Hier soir, vous avez accédé
à un site que vous n’étiez pas autorisé à
visiter. Vous avez de nouveau essayé d’y accéder ce
soir. Nous n’apprécions pas les visiteurs non sollicités.
Si vous parlez à la police de ce que vous avez vu ou si vous
essayez encore d’accéder à ce site, ce qui va arriver
à votre ordinateur arrivera à votre femme, Kellie, à
votre fils, Max et à votre fille, Jessica. Regardez et
réfléchissez bien.
Vos amis de Scarab Productions »
S’il avait eu le moindre soupçon
de l’effet dévastateur qu’un CD, trouvé sur la
banquette d’un train de banlieue, allait avoir sur sa vie, Tom
Bryce l’aurait sans doute laissé là où il
était…
Mort...
ou presque - Titre original: NOT DEAD ENOUGH
Traducteur : Raphaëlle Dedourge
Editeur : Ed. du Panama, Paris, France
Sorti le : 06/03/2008
Les présentations des
éditeurs : 27/02/2008
MORT... OU PRESQUE UNE NOUVELLE
ENQUÊTE DU COMMISSAIRE ROY GRACE
La nuit où Brian Bishop a tué
sa femme, il se trouvait également à quatre-vingts
kilomètres de là, profondément endormi, après
un dîner arrosé avec son conseiller financier. C'est du
moins ce qui ressort de l'enquête menée par le
commissaire Roy Grâce sur le pervers assassinat de la jeune et
jolie mondaine de Brighton.
Bishop a-t-il réussi
l'impossible grâce à un improbable don d'ubiquité
? Quelqu'un aurait-il subtilisé son identité ? Est-il
un menteur hors pair ?
Au fur et à mesure qu'il
progresse dans son enquête sur les moeurs en apparence si
respectables du couple, les choses prennent une tournure bien
différente de ce que Roy Grâce pouvait imaginer...
Ou plutôt un alibi en béton…
La nuit où Brian Bishop a tué
sa femme, il se trouvait également à 60 miles de là,
profondément endormi, après un dîner arrosé
avec son conseiller financier. C’est du moins ce qui ressort de
l’enquête menée par le commissaire Roy Grace sur le
pervers assassinat d’une jeune et jolie mondaine de Brighton, Katie
Bishop.
Bishop a-t-il réussi
l’impossible grâce à un improbable don d’ubiquité
? Quelqu’un aurait-il subtilisé son identité ? Est-il
un menteur hors pair ? Au fur et à mesure qu’il progresse
dans son enquête sur les mœurs en apparence si respectables
des Bishop, les choses prennent une tournure bien différente
de ce que Grace pouvait imaginer…
Ce n’est d’ailleurs qu’un
début : quand il reçoit l’appel d’un ami qui lui
annonce avoir aperçu à Munich une femme ressemblant
étrangement à Sandy, son épouse disparue il y a
plus de neuf ans, il n’est pas loin de perdre les pédales…
Autres publications
Bruits
de tombe - Twilight (VO)
Peter James (1991)
Genre : Thriller fantastique
Cette fois, Kate Hemingway le tient,
son scoop : aucun autre journaliste n'a pu assister à
l'exhumation de la jeune morte. Mais les témoins sont formels
: depuis l'enterrement, on entend des grattements monter du cercueil.
Kate ne s'attend pourtant pas à ce qu'elle va découvrir
dans ce petit cimetière de Brighton...
De son côté, Harvey Swire
a vu la mort de près - de très près- lors d'un
accident. D'autres que lui, il le sait, se sont un jour sentis
aspirés hors de leur débouchait sur une éblouissante
lumière.
Hallucination ? Révélation
d'un autre monde ? Pour Harvey, cette expérience tourne à
l'obsession. Et, puisque personne ne veut l'écouter, il mènera
seul ses recherches, il prouvera scientifiquement l'existence d'une
vie après la mort… Oui, mais à quel prix ?
Rêves
mortels - Dreamer (VO)
Peter James (1989)
Genre : Thriller fantastique
Catastrophe aérienne en Bulgarie
: 163 morts. Debout sur le trottoir, pétrifiée,
Samantha fixe le journal. Les lignes dansent devant ses yeux : Un
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— Sam ? Qu'y a-t-il ? Vous connaissez
quelqu'un qui a pris ce vol ?
— Moi. J'y étais.
C'est vrai. Sam a tout vu. Quand
l'appareil s'est cassé en deux, elle a basculé dans le
vide... et s'est réveillée en sursaut. Elle aurait pu
sauver ces gens ! Alerter la compagnie. Mais qui l'aurait crue ? Qui
croit aux rêves prémonitoires ? On l'aurait traitée
de folle. Surtout si elle avait parlé de l'homme en cagoule
qui hante ses nuits...
Mais ce n'est qu'un début.
Bientôt, les cauchemars seront plus terrifiants encore. Et se
réaliseront, eux aussi…
Possession
- Possession (VO)
Peter James (1988)
Genre : Thriller fantastique
Des phares se ruaient droit sur eux,
énormes, aveuglants. Ils arrivaient dans la mauvaise
direction. - Un camion! cria Fabian. Il écrasa la pédale
du frein. Trop tard. Cette nuit-là, Fabian, vingt-deux ans,
revenait de vacances. Mais sa route s'arrêta net, du côté
de Mâcon. Plus jamais il n'irait à Cambridge, plus
jamais à n'offrirait de roses rouges à sa mère,
plus jamais il n'embrasserait Carrie. Cette nuit-là, Alex fut
réveillée par une ombre. Elle ouvrit les yeux et
découvrit son fils, debout à côté de son
lit. - Salut, m'man, dit Fabian.
Morte
en mémoire vive - Host (VO)
Peter James (1993)
j’ai lu, 1997
Genre : Thriller fantastique
Parce que son père a fait un
pari terrible contre la mort, parce qu'il a décidé
qu'elle n'était pas nécessaire, Joe Messenger, jeune
professeur, Einstein de l'informatique, a juré de vaincre la
fatalité en offrant aux hommes un au-delà que les
religions n'avaient pas prévu : la survie éternelle
dans les circuits de silicium. Le transport de l'âme vers une
oasis électronique où tout sera possible pour ceux qui
ont quitté la vie. Demain, l'homme post-biologique aura
triomphé de la douleur tout en gardant ses passions. Privé
de corps, il aura encore un coeur. Mais sur la route de tous les
rêves les plus furieux, il y a Juliet Spring. Avec ses yeux
verts et son amour fou. Et Archive, le super-ordinateur qui voit
tout, entend tout, et dit : " Juliet est une sale petite garce.
"
Prophétie
- Prophecy (VO)
Peter James (1994)
Genre : Thriller fantastique
Prophétie, j’ai lu, 1999
A la jeune fille qui se débattait
avec une contrebasse sur le quai de King's Cross Station, le vendredi
10 août : faites-moi signe. J'aimerais vous revoir..." Un
magazine feuilleté par hasard dans la salle d'attente du
dentiste... et votre vie peut basculer ! Le cœur battant, Frannie
répond à l'annonce : la fille à la contrebasse,
c'est elle! Et cet homme beau comme un prince mélancolique,
elle l'avait remarqué, ce vendredi-là. Elle répond,
l'imprudente. Sans se douter de ce qui l'attend... D'abord c'est un
de ses amis qui meurt subitement. Puis, autour d'elle, la série
noire continue. Toutes ces morts "accidentelles"
auraient-elles un rapport avec l'homme de l'annonce? Quelle
malédiction pèse sur ce veuf séduisant?
Vérité
- The Truth (VO)
Peter James (1997)
Genre : Thriller
Le Livre de poche,
2001
John et Susan ont tout pour être
heureux. Jeunes, beaux et plein d'espoir, leurs carrières
professionnelles respectives sont brillantes : John est le fondateur
d'une agence de création multimédia et Susan la
première collaboratrice d'un éditeur respecté.
Confiants, ils se portent acquéreurs d'une magnifique maison
londonienne, peut-être un tantinet onéreuse mais trop
séduisante pour qu'ils résistent.
Le problème est que, très
vite, tout ce petit univers de gagnants est en péril. Alors
que le job de Susan est menacé par le rachat de la maison
d'édition qui l'emploie, le banquier attitré de John
est remplacé par un religieux extrémiste qui déteste
les ordinateurs et n'a confiance ni dans les comptes ni dans les
projets de John. Le jeune homme se retrouve alors devant une
alternative simple mais en forme de mission impossible : trouver un
million de livres en trente jours ou tout perdre. Tout ce qui anime
le couple est donc sur le point de s'écrouler quand survient
une étrange proposition : un homme richissime, M. Sarotzini,
est prêt à leur fournir l'argent... si Susan accepte de
porter son enfant, qu'il envisage curieusement de prénommer
Vérité. Après de longs questionnements, John et
Susan finiront par accepter cet étrange marché. Pour
leur plus grand malheur car à partir de ce moment, tout va
basculer dans l'horreur...